Le 23 mars dernier, la Fédération Française des Professionnels de la Communication par l’Objet (2FPCO) a publié sur son site une étude sur les tendances en matière de communication par l’objet. Cette étude concerne l’environnement professionnel en France et porte sur un échantillon de 1002 personnes interrogées.
Réalisée par l’Institut d’Etudes Ginger et publié par la 2FPCO, cette enquête B to B révèle l’importance des campagnes de communication par l’objet. Ainsi, les objets publicitaires restent des vecteurs de communication très efficaces pour les entreprises françaises.
On peut observer que le taux de conservation des objets publicitaires et le taux de mémorisation de la marque ont de très bons niveaux : respectivement 99% et 81%. Ces types de campagnes ont également un impact positif sur la réputation des marques.
Les tendances en matière d’objet publicitaire
Le sondage révèle que les articles informatiques et électroniques ont le plus de succès dans l’univers du cadeau d’affaires. De manière générale, les destinataires apprécient de moins en moins les goodies publicitaires et préfèrent des objets utiles. Ils ont ainsi une préférence particulière pour les clés USB, les tapis de souris et tous les autres accessoires high-tech.
Les cadeaux d’entreprise sont également plus appréciés par les clients et les partenaires d’affaires. Par contre, ils sont moins efficaces dans les actions de stimulation des collaborateurs.
Vu l’impact des campagnes de communication par l’objet sur l’acquisition de nouveaux clients, les entreprises font de plus en plus souvent appel à des spécialistes en communication, notamment pour bien organiser leurs campagnes et pour choisir les cadeaux les plus adaptés.
Les pratiques en termes d’étiquetage
La 2FPCO souligne également un intérêt particulier pour l’étiquetage des objets publicitaires. Selon l’étude, 92% des professionnels interrogés accordent de l’importance à l’origine des produits et ont une préférence pour les labels « Made in ».
85% des personnes interrogées sont réceptives également aux matériaux et aux composantes écologiques et 87% se déclarent intéressés par les consignes de tri sélectif.